Marrant, mais c'est quand même un sujet très important.
Nettement plus que les états d'âme d'un joueur de football dont le cerveau est plus léger qu'un petit pois ou la réforme de l'orthographe, une débilité profonde.
D'ailleurs, le fait de supprimer le « ^ » de forêt n'empêchera pas les pollueurs de tous poils de poursuivre la déforestation du monde.
Mais, là tout le monde s'en fout.
En revanche, que les Grands Bretons (les Britanniques, pour les puristes) veuillent quitter la communauté européenne, c'est pas terrible.
Et je ne crois pas que le dernier sommet européen, malgré l'optimisme de notre bon président normal, soit un véritable succès.
Nettement plus que les états d'âme d'un joueur de football dont le cerveau est plus léger qu'un petit pois ou la réforme de l'orthographe, une débilité profonde.
D'ailleurs, le fait de supprimer le « ^ » de forêt n'empêchera pas les pollueurs de tous poils de poursuivre la déforestation du monde.
Mais, là tout le monde s'en fout.
En revanche, que les Grands Bretons (les Britanniques, pour les puristes) veuillent quitter la communauté européenne, c'est pas terrible.
Et je ne crois pas que le dernier sommet européen, malgré l'optimisme de notre bon président normal, soit un véritable succès.
Je nourris beaucoup de craintes envers nos Anglais, dont je soupçonne la volonté de faire bande à part !
Après quand même, avoir brûlé Jehanne, la pucelle (la pauvre, elle n'aura même pas connu le plaisir) et du coup fait sortir du bois la famille Le Pen au grand complet.
Et maintenant, ces Royaume-Uniens veulent se tirer au prétexte qu'il n'y a plus rien à tirer de cette Europe pas vraiment unie, que les Grecs coûtent beaucoup d'argent et que finalement, vaut mieux aller se faire voir ailleurs.
Ben, je le dis tout net, pour des gens qui ont inventé cette expression : c'est pas fair play !
Bon, j'exagère quand même un peu, il existe parmi tous ces Grands Bretons des gens censés qui voient d'un très mauvais œil se profiler un isolationnisme qui pourrait nuire aux affaires. Je ne parle pas des Écossais, farouches partisans de l'Europe... Mais eux, c'est juste par détestation profonde des Anglais.
Comme quoi, rien n'est simple.
Après quand même, avoir brûlé Jehanne, la pucelle (la pauvre, elle n'aura même pas connu le plaisir) et du coup fait sortir du bois la famille Le Pen au grand complet.
Et maintenant, ces Royaume-Uniens veulent se tirer au prétexte qu'il n'y a plus rien à tirer de cette Europe pas vraiment unie, que les Grecs coûtent beaucoup d'argent et que finalement, vaut mieux aller se faire voir ailleurs.
Ben, je le dis tout net, pour des gens qui ont inventé cette expression : c'est pas fair play !
Bon, j'exagère quand même un peu, il existe parmi tous ces Grands Bretons des gens censés qui voient d'un très mauvais œil se profiler un isolationnisme qui pourrait nuire aux affaires. Je ne parle pas des Écossais, farouches partisans de l'Europe... Mais eux, c'est juste par détestation profonde des Anglais.
Comme quoi, rien n'est simple.
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Et pour le tourisme, me direz-vous. Quid si les Grands Bretons quittent la communauté ?
Ça risque de ne pas être si simple, à tel point que nombreux sont ceux qui pensent que cette fuite serait une sacrée bêtise.
Peter Long de TUI, Michael O'Leary de Ryanair, Carolyn Mac Call pour easyjet, et bien d'autres se sont récemment fendu d'une lettre ouverte dans le Times (c'est pas rien).
Ils déclarent notamment qu'un « Brexit » pourrait entraîner un risque considérable pour l'emploi au Royaume Uni, ajoutant que la position du Maire de Londres en faveur de la sortie de l'UE serait quasi suicidaire.
O'Leary va même jusqu'à ajouter que si l'Union Européenne n'avait pas existé, jamais sa compagnie n'aurait pu proposer des tarifs aussi compétitifs !
Ben dites moi, pour une fois que les Anglais sont enfin réalistes...
Ou, plus exactement, il semble bien qu'ils aient surtout compris que leur intérêt primordial était de continuer à profiter de cette manne économique que peut représenter la communauté européenne.
Ils sont d'ailleurs loin d'être idiots, indiquant dans leur missive au Times que "les affaires nécessitent un accès illimité au marché européen et ses quelque 500 millions de consommateurs, de façon à pourvoir poursuivre notre croissance, nos investissements et continuer à créer des emplois".
Bon. Tout ça ne va donc pas nous préserver des arrivées massives des Thomas Cook et autres TUI, lesquels n'ont visiblement pas d'état d'âme et veulent absolument continuer à jouer sur le marché européen !
D'autant que le principe européen de « ciel ouvert » profite largement à nos amis anglais.
Faudrait quand se souvenir que la vie en communauté procure certes pas mal d’avantages... mais aussi quelques contraintes !
Et que l'on ne peut, même de l'autre côté de la Manche, avoir le butter, la money du butter et le panty de la crémière !
Damned !
Ça risque de ne pas être si simple, à tel point que nombreux sont ceux qui pensent que cette fuite serait une sacrée bêtise.
Peter Long de TUI, Michael O'Leary de Ryanair, Carolyn Mac Call pour easyjet, et bien d'autres se sont récemment fendu d'une lettre ouverte dans le Times (c'est pas rien).
Ils déclarent notamment qu'un « Brexit » pourrait entraîner un risque considérable pour l'emploi au Royaume Uni, ajoutant que la position du Maire de Londres en faveur de la sortie de l'UE serait quasi suicidaire.
O'Leary va même jusqu'à ajouter que si l'Union Européenne n'avait pas existé, jamais sa compagnie n'aurait pu proposer des tarifs aussi compétitifs !
Ben dites moi, pour une fois que les Anglais sont enfin réalistes...
Ou, plus exactement, il semble bien qu'ils aient surtout compris que leur intérêt primordial était de continuer à profiter de cette manne économique que peut représenter la communauté européenne.
Ils sont d'ailleurs loin d'être idiots, indiquant dans leur missive au Times que "les affaires nécessitent un accès illimité au marché européen et ses quelque 500 millions de consommateurs, de façon à pourvoir poursuivre notre croissance, nos investissements et continuer à créer des emplois".
Bon. Tout ça ne va donc pas nous préserver des arrivées massives des Thomas Cook et autres TUI, lesquels n'ont visiblement pas d'état d'âme et veulent absolument continuer à jouer sur le marché européen !
D'autant que le principe européen de « ciel ouvert » profite largement à nos amis anglais.
Faudrait quand se souvenir que la vie en communauté procure certes pas mal d’avantages... mais aussi quelques contraintes !
Et que l'on ne peut, même de l'autre côté de la Manche, avoir le butter, la money du butter et le panty de la crémière !
Damned !